Le Gone du Châaba

 

le 12/010/2010 : Aujourd'hui les jeunes visionnent et discutent du Gone du Châaba











RESUME du GONE DU CHAABA

GoneDuChaabaDans les faubourgs de Lyon en 1965, trois ans après l’indépendance de l’Algérie. « Mon père a une petite maison à lui avec un grand terrain. C’est pour ça qu’il a invité son frère Saïd et ses amis d’El Ouricia (Algérie) qui fuyaient la pauvreté ou la guerre… Ça fait comme un village. Nous, on appelle ça le Chaâba ». Le village dont parle Omar, c’est un bidonville. Omar, neuf ans, est né en France de parents immigrés d’Algérie. Il est pris entre deux mondes et souffre de n’être ni tout à fait Français, ni tout à fait Arabe. Ses parents sont venus en France avec l’espoir d’y trouver la prospérité et la liberté. Mais la vie au Chaâba a des couleurs de misère. Il n’y a ni électricité, ni eau courante. Aux abords du bidonville se trouve une décharge où les enfants guettent l’arrivée des camions-poubelles, peut-être porteurs de « trésors ». C’est là qu´un jour, Omar trouve un dictionnaire de français. Ce dictionnaire le passionne et lui ouvre les portes de la culture française, qu’il découvre et s’approprie. Ses parents voient en lui la chance d’une bonne intégration dans la société française et le poussent à bien travailler à l´école. Mais son intelligence et son zèle attisent la jalousie de ses camarades de classe